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Photo du rédacteurMarina GALANT

Autosabotage : Pourquoi on se tire dans le pied ? Et comment arrêter ?

Ah, l’autosabotage… Cet art subtil de se compliquer la vie tout seul. Mais pourquoi, pourquoi fait-on ça ?

Et surtout, comment s’en débarrasser une bonne fois pour toutes ?

Spoiler : ça demande un peu de boulot, mais c’est faisable. Allez, on y va !


L’origine de l’autosabotage : une petite voix bien trop bavarde


L’autosabotage naît souvent de nos expériences passées, de nos croyances limitantes et de cette peur viscérale de ne pas être à la hauteur. Un échec à l’école, un parent qui voulait qu’on soit parfait(e), ou même une remarque lancée comme une blague… Tout ça peut planter une graine de doute.


Résultat ? On se dit qu’on ne mérite pas de réussir, d’être aimé(e), ou d’avoir une vie géniale. Et hop, l’autosabotage débarque pour nous « protéger » de la déception. Merci, cerveau, vraiment.


Les symptômes : comment reconnaître qu’on se sabote ?


Tu te reconnaîtras peut-être dans ces comportements :

  • Procrastination : pourquoi faire aujourd’hui ce qu’on peut repousser jusqu’à la veille du deadline ?

  • Autocritique constante : cette petite voix qui te dit « de toute façon, tu n’y arriveras pas ».

  • Abandon prématuré : tu commences plein de projets… mais tu les laisses toujours en plan.

  • Tendances autodestructrices : sabotages relationnels, financiers, professionnels… tout y passe !


Mais pourquoi on se fait ça ?


En fait, c’est un mécanisme de survie tordu.

On préfère :

  1. Le confort du connu : rester dans notre zone de confort (même si elle est inconfortable, ironie du sort) plutôt que risquer l’inconnu.

  2. La peur du succès : oui, réussir peut faire peur. Et si on n’était pas capable de gérer tout ça ?

  3. Éviter la déception : si je n’essaie pas, je ne peux pas échouer. Logique, non ? (Non, pas vraiment.)

  4. Une loyauté familiale inconsciente : parfois, nos autosabotages trouvent leur origine dans une blessure transgénérationnelle. On ne s’autorise pas à réussir là où nos parents, grands-parents ou arrière-grands-parents ont échoué. Par loyauté envers eux, on reste bloqué, comme pour « honorer » leurs luttes ou éviter de trahir leur mémoire.

Prendre conscience de cette loyauté invisible, c’est déjà un premier pas vers la libération. Après tout, tes ancêtres auraient sans doute préféré que tu t’épanouisses, non ?


Les solutions : comment sortir de cette spirale infernale ?


Heureusement, il y a des solutions pour arrêter de se mettre des bâtons dans les roues.

  1. Identifie tes croyances limitantes« Je ne suis pas assez… », « Je n’ai pas ce qu’il faut… » → Ces phrases tournent en boucle dans ta tête ? Attrape-les, analyse-les et pose-toi cette question : Est-ce vraiment vrai ? (Spoiler : non).

  2. Change ton discours intérieur : Remplace les phrases toxiques par des affirmations positives. Exemple : « Je ne mérite pas de réussir » devient « Je suis capable et je mérite tout ce qui m’arrive de bien. »

  3. Fixe-toi des objectifs clairs : Des petits pas, un jour à la fois. Pas besoin de gravir l’Everest tout de suite, commence par des collines.

  4. Fais-toi accompagner : Un regard extérieur bienveillant peut t’aider à voir où tu te sabotes et comment y remédier. Oui, c’est un clin d’œil subtil pour te dire de me contacter !


Besoin d’aide pour y voir plus clair ?


Stopper l’autosabotage, c’est un chemin vers plus d’amour de soi, de paix et de sérénité. Si tu veux une vie qui te ressemble vraiment, je t’invite à réserver ton appel de clarté offert. Ensemble, on identifiera tes blocages et on trouvera des solutions concrètes.

Alors, prête à dire bye-bye à l’autosabotage ?


Marina Galant

Sophrothérapeute spécialisée en bien-être émotionnel et relationnel

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